La Licra organisation contre ou pour la discrimination?

Remarque de Sami Aldeeb

Lors du procès du 10 février 2016 dans lequel j’ai témoigné (voir http://goo.gl/LxFbM1 et https://goo.gl/Jd4Y4r), j’ai acquis la conviction que la Licra (La Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme) n’est pas une organisation contre la discrimination, mais une organisation pour la discrimination et pour l’argent…. Sans cela elle s’attaquerait aux normes et pratiques discriminatoires musulmanes dont certaines sont énumérées dans ma lettre à Manuel Valls http://goo.gl/UE7eYJ, et demanderait un euro symbolique au lieu des 2000 euros.
Pour rappel, la Licra était représentée dans ce procès par trois avocats… venus défendre leur bifteck: une avocate qui parlait fébrilement, et deux acolytes oiseux qui lui tenaient la chandelle… dans une messe noire macabre visant à museler la liberté d’expression dans un élan digne des plus sombres moments des tribunaux d’inquisition. Pauvre France.

Source

Licra : 500.000 euros par an pour détruire la France

Publié le 15 février 2016 – par 

Resistants-collabos-une-lutte-a-mortSuite au procès contre Alain Jean-Mairet, la LICRA, par un tweet du 12 courant, s’est montrée fort déçue par la réquisition du procureur : 5000€ c’est beaucoup trop peu!

LICRA
✔ @_LICRA_ Le procureur a requis 5000 € d’amende (bien trop peu à notre goût vu la violence des propos) #LicraContreRiposteLaique
10:50 AM – 12 Feb 2016

C’est que la LICRA, déjà dotée de 500.000€ de subventions annuelles, a besoin de davantage de sous pour financer sa lutte acharnée contre tout ce qui lui semble raciste, antisémite, islamophobe, anti-immigrés, anti-migrants, anti-ouverture à l’Autre, anti-ouvrons les frontières, anti-tout le monde doit s’aimer, anti-l’Autre c’est pareil que moi-même, bref contre tous ceux qui contestent une idéologie digne d’un jeune militant du NPA ayant ses habitudes révolutionnaires et son rond de keffieh chaque samedi à la Fontaine des Innocents. Car c’est cela qui ressort de son compte tweeter, de sa page facebook https://www.facebook.com/licra.org/?ref=ts&fref=ts et des diverses activités mises en avant par son site :http://www.licra.org/

Sur la page facebook on trouve ce genre d’images merveilleuses :

LICRA 5 LICRA 1

Souvent, la LICRA se fait pédagogue et ludique et, dans une vidéo servie par différents « acteurs » de la bien-pensance, nous explique qu’il existe une application qui permet, « avec ton smartphone », de géolocaliser les tags racistes et de les envoyer à la LICRA :

La LICRA aime se faire militante très active contre le « FHaine » grâce à une campagne publicitaire du meilleur goût et d’une grande finesse idéologique, photos à l’appui :

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Au lendemain des attentats islamiques de novembre et alors que la France est en danger permanent de terrorisme islamique, la LICRA sort une nouvelle campagne tout bonnement surréaliste dont le slogan  est : « Je suis de la couleur de ceux qu’on persécute », et dont voici quelques vidéos…à savourer :

https://www.youtube.com/watch?v=aT_ziWz7hUo

https://www.youtube.com/watch?v=TPLwiqVYmws

https://www.youtube.com/watch?v=WRhd2SIJJyA

https://www.youtube.com/watch?v=58M2m2uHCzY

https://www.youtube.com/watch?v=8audIXL5IdM

On remarquera que sur Youtube les commentaires ont été désactivés…

Un article bien documenté de Paris Match du 13 février dernier nous rappelle l’inquiétante proportion de prisonniers musulmans, en particulier à la prison de Fresnes :  «  Dans mon bureau (témoigne le directeur), on me ­raconte qu’on n’ose plus prendre une douche nu, on est obligé de porter des caleçons. D’autres n’ont plus le droit de regarder certains programmes à la télévision… »  A Fresnes, le culte musulman est organisé dans le respect d’un règlement intérieur strict. Le qamis ou la djellaba sont interdits en dehors des temps de prière dans la « fosse », le lieu de culte, cette salle qui, à l’entresol, sert à toutes les religions.

Mais à l’ombre des cellules, plus de règlement. Trois détenus pour 9 mètres carrés : des petites frappes mélangées avec des gros bras ou des mystiques, victimes d’apparitions au contact d’imams autoproclamés. En théorie, le service ­pénitentiaire se charge d’observer et de renseigner. « Facile à dire, il faudrait déjà être formé pour cela. Parfois, on retrouve des livres lors des fouilles de cellule, mais on ne peut pas vous dire si ce sont des textes qui poussent à faire le djihad ou non », lâche, désemparé, un surveillant. Puis Paris Match nous parle du quartier des « radicalisés » : « Seul le traitement des 27 prévenus du premier étage sud diffère. Eux, ils sont seuls, sans codétenus… un confort sans pareil », commente un des surveillants. Tout est organisé pour qu’ils ne croisent pas les autres. Pas même leur regard. Le plus connu de ces proscrits, Sid Ahmed Ghlam, est l’auteur présumé du meurtre d’Aurélie Châtelain. Il est également mis en examen dans le cadre du projet d’attentat contre une église de Villejuif. « Comme les autres radicalisés, il est fermé et parle très peu avec l’administration. Ghlam n’a pas un profil lambda. » 

« Il est dangereux, car il a accès à un réseau. Il a toujours des contacts dans des ­filières », lâche le gardien. Son carnet d’adresses ne pourra profiter qu’à ceux qui sont aussi dangereux que lui. Quand Ghlam joue les taiseux devant le personnel pénitentiaire, d’autres jouent les shérifs, comme Flavien Moreau, le premier djihadiste français condamné à son ­retour de Syrie. Lui ne connaît pas ce nouveau quartier « VIP », il purge sa peine à l’isolement. « Son traitement s’explique par un comportement ultra-­violent à l’égard de l’autorité pénitentiaire », commente un surveillant. « Ingérable », résument certains. »Et plus loin : « A Fresnes, le silence est rare et l’agitation quotidienne. Mais le 13 novembre dernier, la tension monte ­encore d’un cran dans la vieille bâtisse en brique : cris d’effroi, coups sur les portes et quelques « Allah Akbar » ­retentissants. La nouvelle des attentats de Paris et de Saint-Denis avait pénétré les murs épais. »

Et là l’hebdomadaire nous rappelle que la LICRA, le 6 janvier , a organisé un débat sur le vivre-ensemble dans la « fosse », le local religieux de la prison. Parmi les détenus prenant part au « débat », la LICRA trouve normal d’y coller quelques djihadistes!  « David-Olivier Kaminski, ­avocat et représentant de la Licra, a délibérément choisi Fresnes : « C’est un établissement ­mythique, et puis ce programme pilote de déradicalisation est inédit. On a le devoir d’organiser ce type d’événement. » Des jeunes de banlieue, invités par la LICRA, ont participé à un match de foot. Les prisonniers (il n’est pas spécifié si des djihadistes faisaient partie de l’équipe…) ont mis la pâtée à l’équipe « djeunes » Licra 9 à 0! Il est probable que le contraire eût été considéré comme raciste…

LICRA 7   LICRA 6

Prenez le temps de lire l’article de Paris-Match qui ne pourra que vous convaincre de l’utilité des 500.000€ de subventions publiques, des dons divers et autres « dédommagements » grattés ici et là grâce à nos procureurs zélés de la 17ème chambre : http://www.parismatch.com/Actu/Societe/La-menace-djihadiste-912031
La LICRA elle-même sur son site http://www.licra.org/jouer-ensemble-pour-vivre-ensemble-retour-sur-deux-jours-a-fresnes/saura sans doute vous convaincre de la réussite de cette opération :
« La fédération de Paris de la LICRA  organisait les mardi 5 et mercredi 6 janvier  « Les journées du vivre ensemble » au centre pénitentiaire de Fresnes sous l’égide du Ministère de la justice et de l’Administration pénitentiaire. Au programme : matchs de foot et débat. Un grand moment pour chaque participant, détenus et membres de la LICRA. »

« La journée du mardi 5 janvier était organisée autour de la thématique : « Jouer ensemble pour vivre ensemble ». La fédération de Paris a constitué deux équipes de football : la première avec de jeunes avocats,  la seconde avec le soutien de la Licra de Picardie qui représentait les jeunes des quartiers de Beauvais. « Ces équipes de foot Licra étaient à l’image de la société. Elles ont disputé des matchs contre des équipes de détenus. Sur le terrain régnait un grand fair-play, de la camaraderie et en même temps l’envie de gagner… A côté du terrain, discussions, échanges, mutualisation de nos valeurs communes. »
Pour David-Olivier Kaminski, « c’était un grand moment qui s’est déroulé dans un climat où nous nous comportions tous comme des frères pour construire de manière pragmatique « le vivre ensemble ». Et de poursuivre : « Le lendemain fut consacré à un magnifique débat pour lequel j’ai fait appel à mon ami Antoine Spire, le  rédacteur en chef du Droit de Vivre, qui a su avec des mots choisis, poser les expressions fortes qui ont poussé à la réflexion les détenus », s’est réjoui le président de la fédération de Paris. Grandiose!

« Ce débat fut d’une belle intensité avec un parler vrai, cru et en même temps hyper- réaliste. J’ai été ému de voir des détenus debout s’ériger en défenseurs de nos valeurs communes contre ce nouveau racisme qu’est le terrorisme radical. Nous avons aussi beaucoup appris de ces échanges. Ces journées du vivre ensemble sont à reconduire. Elles signent une action de terrain novatrice et inédite en France de la Licra. »

Merveilleux!

« La radicalisation ne touche pas que les musulmans (relativisme mortifère!),mais elle a pris chez certains d’entre eux la figure du crime. Le fait que des assassins se réclament de l’islam suppose que les musulmans débattent à fond de l’interprétation du Coran par les uns et par les autres. « Comment l’islam peut-il se vivre dans un contexte laïc? », se demande un détenu.

La conclusion revint à un homme qui a écopé de 20 ans de réclusion et qui s’écria : « Merci à la Licra d’être venue ici pour réfléchir avec nous ! Personne d’autre n’avait proposé une telle rencontre ».
Après la lecture d’un tel compte rendu, seuls les racistes-islamophobes nauséabonds n’auront pas envie de s’inscrire au prochain congrès de la LICRA, en mars prochain, dont le thème sera « En quoi l’émergence d’un nouvel antisémitisme affiché est-il un enjeu essentiel pour le mouvement antiraciste? », et qui se conclura par un dîner à l’Hôtel de Ville de Paris en compagnie de Madame le Maire et du gratin de la classe politico-médiatique et cela pour la modique somme de 60€ :
http://www.licra.org/wp-content/uploads/48e%CC%80-CONGRES-AJ-completV3.pdf
Et
http://www.licra.org/inscrivez-vous-au-congres-de-la-licra-12-et-13-mars-2016/

Pour vous appâter davantage, il est spécifié que :« des intervenants prestigieux nous feront part de leurs réflexions autour de cette thématique (liste des intervenants à venir). Une formidable occasion de s’enrichir (sic) et de rencontrer les militants de la LICRA. »

Pour terminer ce portrait non exhaustif de l’une des associations qui, avec la LDH, SOS Racisme, le CCIF et tant d’autres, n’ont de cesse de détruire notre nation avec l’argent des Français, sachez que, grâce à la LICRA, et pour la modique somme de 25€, vous pouvez retrouver les plaisirs solitaires dignes des heures les plus sombres de la collaboration, puisque cette officine vous propose de financer des dénonciations en ligne!
http://www.licra.org/je-donne/
Et tous les dons, comme pour les mosquées, sont déductibles des impôts à hauteur de 66%. Alors pourquoi s’en priver?

Danielle Moulins

Quelques liens supplémentaires :

http://www.itele.fr/france/video/lutter-contre-la-radicalisation-un-enjeu-majeur-pour-les-prisons-francaises-149482

http://www.leparisien.fr/fresnes-94260/fresnes-six-jeunes-jouent-avec-des-detenus-05-01-2016-5424021.php
http://www.observatoiredesgaspillages.com/2012/04/500-000-euros-de-subventions-a-la-licra/

http://www.observatoiredesgaspillages.com/2012/04/la-licra-attaque-les-le-pen/
« Pour l’avocat de la candidate, Wallerand de Just, ce clip est « scandaleux » car la LICRA reçoit du gouvernement, 500 000 € de subventions chaque année. « On a le droit de critiquer Marine Le Pen, mais pas avec l’argent des contribuables » a-t-il rajouté. Marine Le Pen estime pour sa part qu’il s’agit d’un  » détournement manifeste de subventions publiques ».
Alain Jakubowicz, président de la Licra, estime que les accusations du Front national sont infondées.
« Les subventions qui nous sont versées par l’Etat ou par les collectivités sont liées à des objectifs précis », dit-il, citant entre autres des ateliers de formation de magistrats ou de policiers à la lutte contre les discriminations.
http://www.contribuables.org/2007/02/les-subventions-a-la-licra-sont-egalement-illegales/
« Dans une affaire précédente, le Conseil d’État avait souligné l’illégalité des subventions versées par les communes à la LICRA (Ligue contre le racisme et l’antisémitisme). Comme le rappelait le Bulletin juridique des collectivités locales (décembre 2002), « dès lors que celle-ci [l’association] a une action partisane, l’intérêt public n’existe plus. Quelles que soient leurs intentions, les autorités locales ne peuvent subventionner une association engagée dans le combat politique ».

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