Sami Aldeeb : il faut couper les racines de l’islam (vidéo)

Source:

 
https://www.youtube.com/watch?v=mJHGGdSJz5U

Tout ce qu’il faut connaître et comprendre sur les lois « divines » musulmanes (la CHARIA) et ses conséquences dans le quotidien

Série d’interviews du professeur Sami ALDEEB

Regroupées dans

https://www.youtube.com/playlist?list=PLwMcFCuewSBwaFSJ45mkWZy_JYuWZaLGZ

Dans la vidéo 6 de la série, le professeur Sami ALDEEB décrypte et différencie le visible, le périphérique de l’islam (les branches) d’une part,

et les fondamentaux, interdits à jamais de remise en question (les racines), la sacralisation du coran et la déification de la légende Mahomet.

L’Occident se focalise, à la rigueur, sur le visible des effets délétères pour mieux occulter et dédouaner les racines en causes.

Les branches dépendent des racines

Certes, l’Occident critique les dits islamistes sur leurs actes les plus horribles, les plus dangereux, les plus archaïques, les plus délirants…

Mais, en toute méconnaissance, en toute complicité et/ou afin d’éviter les tribunaux hostiles, nos politiques, les médias, les communautés, croyantes ou pas, clament qu’il ne s’agit pas du véritable islam, qui prêche, on le sait si on regarde la télé, l’amour, la tolérance et surtout la paix.

Ils pensent démontrer le bien-fondé de leurs a priori, en soulignant que si des musulmans se haïssent et nous haïssent tant, s’ils tuent aussi férocement leurs propres coreligionnaires, c’est bien qu’il existe 2 camps, les mauvais islamistes ( les ce-n’est-pas-çà-l’islam) et les bons musulmans modérés qui les combattent.

A les supposer sincères, ne confondent-ils pas causes et effets ?

Sous la diversité des pays musulmans (maghrébins, moyen orientaux, asiatiques), le ciment commun, les fondamentaux du système islamique se résument à la sacralisation du coran, « parole de dieu » et la déification d’une légende, Mahomet.

S’y attelle un illusoire d’unité universelle (oumma, califat) comme objectif d’un retour à un passé glorieux entièrement mystique et mystifiant.

Les nommés islamistes, avec le qualificatif occidental de « radicaux », sont le plus pur produit de l’orthodoxie de l’islam : ils ont bien assimilé le coran, avec toutes ses imprécations et prescriptions terribles. Ils imitent au plus près les actes, rapportés par les textes supposés sacrés, de Mahomet, et adoptent la charia islamique intégrale. L’Etat Islamique, l’Iran, Le Soudan, l’Arabie, Qatar, etc. sontles vrais musulmans.

Ils forment le courant porteur des valeurs islamiques, dominant, le plus populaire et fascinent les plus psychopathes qui les rejoignent.

Les nommés modérés, les Etats musulmans (dits laïcs, nationalistes, voire pro-occidentaux) se réfèrent aux mêmes textes, mais les accommodent partiellement, n’appliquent pas toute la charia, tout ce que dieu a dit et tout ce que Mahomet a fait.

Ils sont considérés, à juste titre, infidèles au message divin par les plus attachés à la « pureté » des croyances islamiques.

La charia comporte donc une partie visible  (les branches): le voile, les interdits alimentaires, le droit de la famille, les prières, les ségrégations homme/femme, musulman/non musulman, les sanctions horrifiques, amputations, décapitations, esclavage, etc.

Et une partie à jamais intouchable (les racines), les 2 piliers formés par le coran et Mahomet.

Le « radicalisme »musulman, ce sont les racines de l’islam.

C’est bien là que le système islamique est verrouillé, impossible à se réformer et dans une « logique » sans recours : toute critique du coran ou de Mahomet étant passible de mort (les évènements tragiques de janvier en font foi), il n’y a pas UN « modéré », fût-il intellectuel, qui s’y risquerait. On vous parlera des branches choisies pour les réformes à venir (depuis des siècles, on les attend encore), mais on ne touche pas au « sacré ».

Le téméraire qui se hasarderait à seulement questionner les profondes incohérences du coran ou les actes criminels dudit prophète, outre les menaces, persécutions ou passages à l’acte meurtrier qu’il subira, sera exclu du statut de musulman , sa parole devenant celle d’un apostat, sans valeur, comme celle d’un « koufar ».

Les intellectuels musulmans dits « modérés » de nos plateaux médiatiques ne vivraient sans doute pas bien longtemps dans leurs pays d’origine, confinés dans l’alternative résignée au silence sur l’essentiel ou à l’apostasie.

Comme tout système totalitaire, l’islam ne peut permettre la liberté de conscience, la liberté de penser.

Comme tout système totalitaire, il peut s’écrouler, imploser aussi brusquement que les systèmes communistes, lorsqu’ils ont cédé aux sirènes de la liberté.

Guy SAUVAGE

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